Daniel, quelle est la place de ce Final4 dans votre calendrier ?
C’est toujours un moment important pour nous. On a la chance de pouvoir espérer gagner un trophée sur un week-end. Pour cela il faudra gagner deux matches de suite. On a vu la qualité du plateau, avec des équipes avec énormément de qualité. Il va falloir se préparer sérieusement pour cette demi-finale face à Saint-Raphaël, qui a l’habitude de livrer de gros combats sur le terrain. Ca sera une nouvelle fois le cas vendredi.
C’est un trophée qui manque au palmarès de l’équipe…
Même si ce n’était pas le cas, quand tu joues un Final4, tu veux jouer ta chance à fond. Le seule problème, c’est que les trois autres équipes ont aussi envie de le gagner… (sourire) Paris a envie de faire partie des plus grands clubs, et pour cela il faut ramener des titres à la maison.
"Gagner la demie sans trop de dégâts"
Comment allez-vous gérer ce Final4, notamment sur le plan physique ?
La particularité de jouer deux matches en deux jours demande énormément d’énergie. Si on veut avoir une chance de gagner la finale, il faut gagner sans demies sans trop de dégâts. Pour cela, on va essayer de se concentrer comme il le faut. On connaît la qualité de cette équipe, on va travailler au maximum à la vidéo et ensuite livrer un gros combat.
Vous sortez de cinq jours de repos, une rareté pour vous…
C’est vrai que c’est rare, mais ça fait du bien. Quand tu sors d’une série de matches comme ça, ça soulage un peu. On a réussi à bien travailler avec le staff. On a optimisé le temps que l’on avait, mais tout ces bénéfices vont vite disparaître si l’on joue les deux matches à la suite (sourire).