Malgré un effectif réduit, Dijon a réalisé un début de saison exemplaire avec notamment des victoires sur Dunkerque et à Istres. L’entraîneur du promu Denis Lathoud s’attend à une deuxième partie de championnat difficile mais excitante.
Denis Lathoud, quel bilan faites-vous de la première partie de saison ?
C’est satisfaisant du fait qu’on soit 9e avec 10 points. C’est un peu miraculeux avec ce qui nous arrive. Lors de la première partie de saison, j’ai eu à ma disposition seulement dix joueurs plutôt que quatorze. C’est presque hallucinant. Les joueurs se sont investis à 120%. On n’a jamais été battu de beaucoup et nous avons remporté des succès importants.
Dijon a-t-il les armes pour viser le maintien ?
Déjà, j’ai récupéré deux blessés de longue date, Samuel Carle et de Daniel Ley. J’ai un effectif plus important avec plus de rotations. Le plus gros problème n’est pas forcément d’être à dix ou à douze. Au niveau des entraînements, c’était compliqué de travailler en opposition à 6 contre 6 car on a rarement été quatorze, plus souvent dix, onze ou douze avec les jeunes du club qui nous ont aidé à faire le nombre. Du coup, nous avions organisé des séances communes avec Saumur-en-Auxois.
Quel est le programme de votre équipe pendant cette trêve ?
J’ai laissé beaucoup de repos aux joueurs pour qu’ils se lavent la tête. Je les avais beaucoup sollicités. C’était important au niveau mental et physique. On a coupé après Toulouse le 16 décembre pour reprendre le 11 janvier. On a pu réattaquer avec un gros travail physique. Nous avons joué face à Nancy (ndlr, victoire 29-25) et bientôt Semur en Auxois avant d’aller à Sélestat en Coupe de France le 3 février.
Comment voyez-vous la suite de la saison ?
Ce sera plus simple sur la deuxième partie avec deux joueurs en plus. Mais on ne sera pas plus performant malgré tout. En plus, nous allons être attendus au coin du bois. Nous avons prouvé que nous sommes capables et que nous avons le niveau de la D1. Nous sommes sur la dynamique de la montée. On a un calendrier un peu plus favorable. A nous de bien l’utiliser. On va continuer de travailler sans faire de révolution pour gagner des matches le plus vite possible et nous renforcer pour l’année prochaine. On ne pourra pas refaire une saison avec un effectif réduit.
Denis Lathoud, quel bilan faites-vous de la première partie de saison ?
C’est satisfaisant du fait qu’on soit 9e avec 10 points. C’est un peu miraculeux avec ce qui nous arrive. Lors de la première partie de saison, j’ai eu à ma disposition seulement dix joueurs plutôt que quatorze. C’est presque hallucinant. Les joueurs se sont investis à 120%. On n’a jamais été battu de beaucoup et nous avons remporté des succès importants.
Dijon a-t-il les armes pour viser le maintien ?
Déjà, j’ai récupéré deux blessés de longue date, Samuel Carle et de Daniel Ley. J’ai un effectif plus important avec plus de rotations. Le plus gros problème n’est pas forcément d’être à dix ou à douze. Au niveau des entraînements, c’était compliqué de travailler en opposition à 6 contre 6 car on a rarement été quatorze, plus souvent dix, onze ou douze avec les jeunes du club qui nous ont aidé à faire le nombre. Du coup, nous avions organisé des séances communes avec Saumur-en-Auxois.
Quel est le programme de votre équipe pendant cette trêve ?
J’ai laissé beaucoup de repos aux joueurs pour qu’ils se lavent la tête. Je les avais beaucoup sollicités. C’était important au niveau mental et physique. On a coupé après Toulouse le 16 décembre pour reprendre le 11 janvier. On a pu réattaquer avec un gros travail physique. Nous avons joué face à Nancy (ndlr, victoire 29-25) et bientôt Semur en Auxois avant d’aller à Sélestat en Coupe de France le 3 février.
Comment voyez-vous la suite de la saison ?
Ce sera plus simple sur la deuxième partie avec deux joueurs en plus. Mais on ne sera pas plus performant malgré tout. En plus, nous allons être attendus au coin du bois. Nous avons prouvé que nous sommes capables et que nous avons le niveau de la D1. Nous sommes sur la dynamique de la montée. On a un calendrier un peu plus favorable. A nous de bien l’utiliser. On va continuer de travailler sans faire de révolution pour gagner des matches le plus vite possible et nous renforcer pour l’année prochaine. On ne pourra pas refaire une saison avec un effectif réduit.