Alors que son match de la 5e journée de D1 face à Ivry a été reporté et qu’il n’est pas qualifié pour les ¼ de finale de la Coupe de la Ligue, le Dijon BHB fait face à une période un peu étrange à appréhender. Une sorte de mini-trêve de quasiment un mois entre deux rencontres officielles puisque les matchs internationaux auront lieu la semaine prochaine.
Promu maintenu lors du précédent exercice, Dijon a, pour le moment, effectué un début de saison « mitigé » selon les propres mots de son coach Denis Lathoud, « mitigé car au niveau du jeu, nous avons petit à petit retrouvé celui qui était le notre en fin de saison dernière, mais que d’un point de vue comptable nous ne sommes pas là où je l’attendais. On fait un nul face à Tremblay, on n’est pas loin du partage des points, voire plus, face à Chambéry. C’est dommage. » Pour autant les ambitions des Bourguignons restent élevées : « on sait que la deuxième saison est la plus difficile dans l’élite. Il faut être capable d’enchaîner et de confirmer » détaille l’ancien Barjot « c’est pour cela qu’au regard des résultats de l’année dernière où on termine à un point de la 8e place et de l’effectif plus fourni que l’on possède, je serais content si on arrive à terminer 7e. »
Pour cela Dijon devra bien gérer l’actuelle période de transition et réussir sa rentrée face à Nîmes début novembre : « on est confronté à un mois d’octobre quasi sans rencontre officielle. Alors même si cela nous permet de soigner nos blessés (Carle, Lanfranchi et Versol), j’ai vraiment peur que l’on manque de rythme à la reprise face à Nîmes. Ce n’est pas simple à gérer. On aura quand même peut-être l’occasion de faire un match amical face à Semur en Auxois (D2) lors de la semaine internationale. »
Pour autant, le pragmatisme prime. Dijon continue de travailler, patiemment, pour continuer de grandir dans cette élite hexagonale.
Promu maintenu lors du précédent exercice, Dijon a, pour le moment, effectué un début de saison « mitigé » selon les propres mots de son coach Denis Lathoud, « mitigé car au niveau du jeu, nous avons petit à petit retrouvé celui qui était le notre en fin de saison dernière, mais que d’un point de vue comptable nous ne sommes pas là où je l’attendais. On fait un nul face à Tremblay, on n’est pas loin du partage des points, voire plus, face à Chambéry. C’est dommage. » Pour autant les ambitions des Bourguignons restent élevées : « on sait que la deuxième saison est la plus difficile dans l’élite. Il faut être capable d’enchaîner et de confirmer » détaille l’ancien Barjot « c’est pour cela qu’au regard des résultats de l’année dernière où on termine à un point de la 8e place et de l’effectif plus fourni que l’on possède, je serais content si on arrive à terminer 7e. »
Pour cela Dijon devra bien gérer l’actuelle période de transition et réussir sa rentrée face à Nîmes début novembre : « on est confronté à un mois d’octobre quasi sans rencontre officielle. Alors même si cela nous permet de soigner nos blessés (Carle, Lanfranchi et Versol), j’ai vraiment peur que l’on manque de rythme à la reprise face à Nîmes. Ce n’est pas simple à gérer. On aura quand même peut-être l’occasion de faire un match amical face à Semur en Auxois (D2) lors de la semaine internationale. »
Pour autant, le pragmatisme prime. Dijon continue de travailler, patiemment, pour continuer de grandir dans cette élite hexagonale.