Jesper, votre huitième de finale a été assez facile face à la Biélorussie…
Nous avons juste joué notre jeu ensemble. On a eu une belle défense devant de bons gardiens et ça nous a donné beaucoup de contre-attaques. C’est un peu notre force.
Place désormais à la France, à quoi vous attendez-vous ?
Ca s’annonce très difficile. On va devoir tout donner et jouer à à notre meilleur niveau en espérant que la France ne joue pas à son meilleur niveau (sourire). On va devoir défendre dur pour essayer de récupérer des ballons et marquer des contre-attaques car sur attaque placée, face à eux, c’est très difficile.
A quel niveau évaluez-vous vos chances ?
C’est un match donc on va dire 50/50 ! Après la France aura plus de 28 000 personnes avec eux. Ca aidera forcément. Mais ce n’est qu’un match et tout peut arriver.
Un mot sur ce stade Pierre-Mauroy ?
C’est cool. Il y avait une belle atmosphère pour notre match face à la Biélorussie alors qu’il n’y avait pas de supporters des deux équipes. On va désormais voir ce que ça donne quand on sera face à la France (sourire).
Vous allez jouer face à certains de vos coéquipiers à Paris, est-ce spécial ?
Oui bien sûr. Ca va être fun de jouer contre eux. Mais jouer avec eux veut aussi dire que je sais à quel point c’est difficile de les arrêter. (sourire)
Vous devez tout de même avoir quelques astuces pour les arrêter…
Un petit peu…
Comment stoppe-t-on Nikola Karabatic ?
Ah on ne peut pas ça ! (rires) On peut à la rigueur le contenir un peu mais personne ne peut stopper Niko !
Be. C.