Le 1er tour de la Coupe de la Ligue a donné lieu à une belle surprise avec la victoire en prolongations de Cesson sur le terrain de Tremblay. Dans les autres matches, les favoris ont assuré. Istres, le tenant du titre, a battu à domicile Créteil. A noter dans les autres matches les qualifications de Saint-Raphaël, Ivry, Nantes et Dunkerque. Montpellier et Chambéry étaient exempts de ce premier tour.
Tremblay 29-30 Cesson (MT : 14-11, fin du temps réglementaire : 26-26)
Favoris sur le papier, les joueurs de Tremblay ont assumé leur statut pendant une bonne partie du match. Avec trois buts d’avance, les locaux ont maîtrisé les débats jusqu’à la 47e minute de jeu. Mais Cesson, dernier du championnat, a trouvé les ressources pour leur infliger un 5-0 et arracher la prolongation. Emmené par un solide Arnaud Freppel (7/8 aux tirs), Cesson a rapidement fait la différence pour remporter à l’extérieur une victoire surprise, la première de la saison.
Istres 31-24 Créteil (17-9)
Pas de surprise en revanche, à Istres, avec une large victoire des locaux. Une victoire qui s’est dessinée dès les premières minutes du match. Très efficaces en défense et en montée de balle, les joueurs de Christophe Mazel ont rapidement pris les devants. A la pause, ils comptaient déjà 8 buts d’avance. Une avance qu’ils vont gérer tranquillement jusqu’au coup de sifflet final, grâce à un excellent Armand Gomis (8 buts) en attaque.
Toulouse 28-33 Ivry (16-18)
Un gros passage à vide. Longtemps accrochés aux basques des visiteurs, les Toulousains ont tenu jusqu’à la 46e minute. A ce moment-là, le score était encore de parité (26-26). Dix minutes plus tard, Ivry s’était envolé (26-33). Sept buts encaissés et aucun marqué. Evidemment, à cinq minutes de la fin du match, Toulouse n’a pas pu se relever de ce coup de mou, laissant l’équipe de Pascal Léandri se qualifier pour le tour suivant.
Nantes 35-30 Aurillac (19-13)
Les Nantais ont bien géré ce match piège contre des Cantalous accrocheurs. En effet, malgré un début de match compliqué et un retard de six buts à la pause (19-13), Aurillac y a cru jusqu’au bout. A dix minutes de la fin, les joueurs de Jérémy Roussel sont même revenus à deux buts. Mais les partenaires de Frédéric Dole (11 buts) ne se sont pas affolés pour remporter une victoire importante à domicile.
Nîmes 24-35 Saint-Raphaël (11-16)
Pas si simple que ça. Les joueurs de Christian Gaudin ont mis quelques minutes à prendre la mesure des Nîmois. A la 20e minute, leur avance n’était encore que d’un but (10-9). Ensuite, l’équipe locale a craqué en défense et n’a cessé de voir l’écart grandir. Au final, +11 pour Saint-Raphaël et une qualification quasi logique pour le tour suivant.
Dunkerque 21-18 Dijon (11-7)
Les Nordistes peuvent remercier leur gardien. Auteur de 20 arrêts (53% de réussite), Arnaud Siffert a permis à son équipe d’assurer la victoire dans un match très défensif. Peu en réussite en attaque, les joueurs de Yérime Sylla ont su maintenir un écart oscillant entre 3 et 4 buts. Un écart creusé dès les premières minutes du match, notamment grâce à Ragnar Oskarsson (5 buts). Sans briller, Dunkerque remporte une solide victoire.
Tremblay 29-30 Cesson (MT : 14-11, fin du temps réglementaire : 26-26)
Favoris sur le papier, les joueurs de Tremblay ont assumé leur statut pendant une bonne partie du match. Avec trois buts d’avance, les locaux ont maîtrisé les débats jusqu’à la 47e minute de jeu. Mais Cesson, dernier du championnat, a trouvé les ressources pour leur infliger un 5-0 et arracher la prolongation. Emmené par un solide Arnaud Freppel (7/8 aux tirs), Cesson a rapidement fait la différence pour remporter à l’extérieur une victoire surprise, la première de la saison.
Istres 31-24 Créteil (17-9)
Pas de surprise en revanche, à Istres, avec une large victoire des locaux. Une victoire qui s’est dessinée dès les premières minutes du match. Très efficaces en défense et en montée de balle, les joueurs de Christophe Mazel ont rapidement pris les devants. A la pause, ils comptaient déjà 8 buts d’avance. Une avance qu’ils vont gérer tranquillement jusqu’au coup de sifflet final, grâce à un excellent Armand Gomis (8 buts) en attaque.
Toulouse 28-33 Ivry (16-18)
Un gros passage à vide. Longtemps accrochés aux basques des visiteurs, les Toulousains ont tenu jusqu’à la 46e minute. A ce moment-là, le score était encore de parité (26-26). Dix minutes plus tard, Ivry s’était envolé (26-33). Sept buts encaissés et aucun marqué. Evidemment, à cinq minutes de la fin du match, Toulouse n’a pas pu se relever de ce coup de mou, laissant l’équipe de Pascal Léandri se qualifier pour le tour suivant.
Nantes 35-30 Aurillac (19-13)
Les Nantais ont bien géré ce match piège contre des Cantalous accrocheurs. En effet, malgré un début de match compliqué et un retard de six buts à la pause (19-13), Aurillac y a cru jusqu’au bout. A dix minutes de la fin, les joueurs de Jérémy Roussel sont même revenus à deux buts. Mais les partenaires de Frédéric Dole (11 buts) ne se sont pas affolés pour remporter une victoire importante à domicile.
Nîmes 24-35 Saint-Raphaël (11-16)
Pas si simple que ça. Les joueurs de Christian Gaudin ont mis quelques minutes à prendre la mesure des Nîmois. A la 20e minute, leur avance n’était encore que d’un but (10-9). Ensuite, l’équipe locale a craqué en défense et n’a cessé de voir l’écart grandir. Au final, +11 pour Saint-Raphaël et une qualification quasi logique pour le tour suivant.
Dunkerque 21-18 Dijon (11-7)
Les Nordistes peuvent remercier leur gardien. Auteur de 20 arrêts (53% de réussite), Arnaud Siffert a permis à son équipe d’assurer la victoire dans un match très défensif. Peu en réussite en attaque, les joueurs de Yérime Sylla ont su maintenir un écart oscillant entre 3 et 4 buts. Un écart creusé dès les premières minutes du match, notamment grâce à Ragnar Oskarsson (5 buts). Sans briller, Dunkerque remporte une solide victoire.