La Coupe de la Ligue débute cette semaine. Mis à part Montpellier et Chambéry, déjà qualifiés pour le tour suivant, tous les clubs de LNH sont concernés. Et les affiches de ces 8e de finales, disputés en match sec, sont alléchantes !
Vendredi
Nantes – Paris à 19h30 en direct sur Sport +
Demi-finalistes l’année dernière, les Parisiens espèrent refaire le même coup lors de cette nouvelle édition. Mais ils n’auront pas la tâche facile à l’extérieur, sur le terrain de Nantes. Après, il faut voir quelle équipe de Nantes se dressera face aux joueurs de la Capitale. Celle de la première période du match contre Montpellier (19-9), jugée « catastrophique » par Thierry Anti, ou celle de la seconde mi-temps beaucoup plus en rapport avec les qualités des Violets (défaite finale 32-25) ? Vu l’enjeu et le soutien du public, on peut pencher vers la seconde proposition. Dans ces conditions, Nicolas Claire (7 buts par match cette saison) et ses coéquipiers devront sortir le grand jeu pour surprendre Nantes, comme ils ont réussi à le faire la semaine dernière en arrachant leur première victoire en D1 contre Ivry (27-26).
Dunkerque – Créteil à 20h
Depuis la victoire en Coupe de France la saison dernière, l’appétit des Nordistes a encore grandi. Notamment pour les Coupes nationales. Le problème, c’est que ce titre a braqué les projecteurs sur ce club et que, du coup, l’USDK est encore plus attendu. Par son public, qui veut un autre résultat que lors de la première sortie ratée à domicile contre Saint-Raphaël (défaite 26-29), mais aussi par ses adversaires. De son côté, malgré son statut de promu, Créteil joue sans complexe depuis le début du championnat. Face à Dunkerque, les Cristoliens pourront jouer avec ce statut d’outsiders qui leur va bien. Surtout que, avec des joueurs d’expérience comme Guilbert ou Mitrovic, ils ont tout à fait les moyens pour bousculer l’équipe de Patrick Cazal.
Saint-Raphaël – Ivry à 20h
Si on regarde le classement du championnat, ce match est sans aucun doute le choc de ces 8e de finales. Saint-Raphaël, c’est tout simplement trois victoires en trois matches, dont une marquante à Dunkerque (29-26). Et, en face, Ivry est positionné à la 4e place avec un succès et un nul en trois journées. Voilà pour les chiffres. Mais, sur le terrain, ce match devrait également donner lieu à une belle opposition. A domicile, les Varois sont évidemment favoris, mais ils devront se méfier de Rouge et Noir plutôt solides en défense actuellement. Surtout que les Franciliens seront sans doute revanchards après les points perdus à Paris la semaine dernière (défaite sur le fil 27-26). Pour les deux équipes, une qualification validerait le bon début de la saison et ouvrirait de nouvelles perspectives.
Toulouse – Cesson à 20h
Deux clubs, deux trajectoires différentes. Depuis le début du championnat, les Haut-Garonnais et les Bretons ont des parcours opposés. Après une belle victoire contre Tremblay en ouverture (25-22), la troupe de David Christmann s’est un peu éteinte avec des revers contre Nantes (35-33) et surtout Nîmes (24-33). De l’autre côté, c’est l’inverse. Les coéquipiers de Jérôme Fernandez ont débuté par deux défaites face à Montpellier (28-37) et Ivry (26-32), avant de se réveiller le week-end dernier avec un succès devant Créteil (32-26). La défense, notamment, semblait enfin trouver ses marques. Il faudra le montrer une nouvelle fois dans ce 8e de Coupe de la Ligue contre une équipe disposant de joueurs (Hernandez-Pola, Lanfranchi…) capables de marquer 10 buts à chaque sortie.
Samedi
Istres – Nîmes à 20h30
En regain de forme grâce à leur première victoire de la saison le week-end dernier, Istres et Nîmes auraient peut-être préféré ne pas s’affronter tout de suite. Car, forcément, l’une des deux équipes sortira perdant de ce 8e de finale, et cette défaite mettra un coup d’arrêt au nouvel élan espéré. Surtout que, lors de leur dernière sortie, les deux équipes avaient réellement montré de belles choses. Avec un succès d’Istres sur Tremblay (32-29) et une victoire de Nîmes à Cesson (33-24). La saison dernière, les deux clubs sudistes avaient chacun remporté l’une des deux oppositions du championnat. La rencontre de ce samedi devrait donc être de nouveau équilibrée. Avec, en filigrane, un sacré duel d’artilleurs entre Damien Scaccianoce (en photo) et Maxime Derbier, respectivement 2e et 4e buteur de D1.
Dimanche
Tremblay – Sélestat à 17h
Comme un air de déjà-vu. Vous ne rêvez pas, les deux équipes se sont affrontés il n’y a pas très longtemps. C’était le 17 septembre dernier dans le cadre de la 2e journée de championnat. Le résultat ? Une victoire à domicile des Franciliens 31-24 grâce, notamment, à un 11/12 au tir de Romain Guillard. Deux semaines plus tard, Sélestat vient à nouveau défier Tremblay en espérant bien sûr une autre issue. Si le promu a sans doute retenu les leçons du premier match, il devra en revanche se passer de joueurs importants comme son buteur Michal Salami, justement blessé lors de ce précédent duel et out pour 6 mois. Mais, pour son retour en Coupe de la Ligue, Sélestat compte bien tout donner pour trouver les failles de Tremblay.
Vendredi
Nantes – Paris à 19h30 en direct sur Sport +
Demi-finalistes l’année dernière, les Parisiens espèrent refaire le même coup lors de cette nouvelle édition. Mais ils n’auront pas la tâche facile à l’extérieur, sur le terrain de Nantes. Après, il faut voir quelle équipe de Nantes se dressera face aux joueurs de la Capitale. Celle de la première période du match contre Montpellier (19-9), jugée « catastrophique » par Thierry Anti, ou celle de la seconde mi-temps beaucoup plus en rapport avec les qualités des Violets (défaite finale 32-25) ? Vu l’enjeu et le soutien du public, on peut pencher vers la seconde proposition. Dans ces conditions, Nicolas Claire (7 buts par match cette saison) et ses coéquipiers devront sortir le grand jeu pour surprendre Nantes, comme ils ont réussi à le faire la semaine dernière en arrachant leur première victoire en D1 contre Ivry (27-26).
Dunkerque – Créteil à 20h
Depuis la victoire en Coupe de France la saison dernière, l’appétit des Nordistes a encore grandi. Notamment pour les Coupes nationales. Le problème, c’est que ce titre a braqué les projecteurs sur ce club et que, du coup, l’USDK est encore plus attendu. Par son public, qui veut un autre résultat que lors de la première sortie ratée à domicile contre Saint-Raphaël (défaite 26-29), mais aussi par ses adversaires. De son côté, malgré son statut de promu, Créteil joue sans complexe depuis le début du championnat. Face à Dunkerque, les Cristoliens pourront jouer avec ce statut d’outsiders qui leur va bien. Surtout que, avec des joueurs d’expérience comme Guilbert ou Mitrovic, ils ont tout à fait les moyens pour bousculer l’équipe de Patrick Cazal.
Saint-Raphaël – Ivry à 20h
Si on regarde le classement du championnat, ce match est sans aucun doute le choc de ces 8e de finales. Saint-Raphaël, c’est tout simplement trois victoires en trois matches, dont une marquante à Dunkerque (29-26). Et, en face, Ivry est positionné à la 4e place avec un succès et un nul en trois journées. Voilà pour les chiffres. Mais, sur le terrain, ce match devrait également donner lieu à une belle opposition. A domicile, les Varois sont évidemment favoris, mais ils devront se méfier de Rouge et Noir plutôt solides en défense actuellement. Surtout que les Franciliens seront sans doute revanchards après les points perdus à Paris la semaine dernière (défaite sur le fil 27-26). Pour les deux équipes, une qualification validerait le bon début de la saison et ouvrirait de nouvelles perspectives.
Toulouse – Cesson à 20h
Deux clubs, deux trajectoires différentes. Depuis le début du championnat, les Haut-Garonnais et les Bretons ont des parcours opposés. Après une belle victoire contre Tremblay en ouverture (25-22), la troupe de David Christmann s’est un peu éteinte avec des revers contre Nantes (35-33) et surtout Nîmes (24-33). De l’autre côté, c’est l’inverse. Les coéquipiers de Jérôme Fernandez ont débuté par deux défaites face à Montpellier (28-37) et Ivry (26-32), avant de se réveiller le week-end dernier avec un succès devant Créteil (32-26). La défense, notamment, semblait enfin trouver ses marques. Il faudra le montrer une nouvelle fois dans ce 8e de Coupe de la Ligue contre une équipe disposant de joueurs (Hernandez-Pola, Lanfranchi…) capables de marquer 10 buts à chaque sortie.
Samedi
Istres – Nîmes à 20h30
En regain de forme grâce à leur première victoire de la saison le week-end dernier, Istres et Nîmes auraient peut-être préféré ne pas s’affronter tout de suite. Car, forcément, l’une des deux équipes sortira perdant de ce 8e de finale, et cette défaite mettra un coup d’arrêt au nouvel élan espéré. Surtout que, lors de leur dernière sortie, les deux équipes avaient réellement montré de belles choses. Avec un succès d’Istres sur Tremblay (32-29) et une victoire de Nîmes à Cesson (33-24). La saison dernière, les deux clubs sudistes avaient chacun remporté l’une des deux oppositions du championnat. La rencontre de ce samedi devrait donc être de nouveau équilibrée. Avec, en filigrane, un sacré duel d’artilleurs entre Damien Scaccianoce (en photo) et Maxime Derbier, respectivement 2e et 4e buteur de D1.
Dimanche
Tremblay – Sélestat à 17h
Comme un air de déjà-vu. Vous ne rêvez pas, les deux équipes se sont affrontés il n’y a pas très longtemps. C’était le 17 septembre dernier dans le cadre de la 2e journée de championnat. Le résultat ? Une victoire à domicile des Franciliens 31-24 grâce, notamment, à un 11/12 au tir de Romain Guillard. Deux semaines plus tard, Sélestat vient à nouveau défier Tremblay en espérant bien sûr une autre issue. Si le promu a sans doute retenu les leçons du premier match, il devra en revanche se passer de joueurs importants comme son buteur Michal Salami, justement blessé lors de ce précédent duel et out pour 6 mois. Mais, pour son retour en Coupe de la Ligue, Sélestat compte bien tout donner pour trouver les failles de Tremblay.