Rock, un mot sur votre début d’année 2016 ?
C’est un début d’année positif je pense. On est plutôt pas mal. On a très bien commencé à la reprise, et ça nous a lancé dans une belle série. Le seul bémol, c’est notre élimination en quarts de finale de la Coupe de France à Cesson-Rennes (28-23). Est-ce un mal pour un bien ? On le saura plus tard. Mais pour le reste, on est bien positionnés en Coupe d’Europe, et en D1, on est bien relancés aussi. On a réussi à recoller au peloton des équipes qui viseront l’Europe.
Vous venez de battre Göppingen à domicile, était-ce un rendez-vous important pour vous ?
Oui forcément, on jouait face à un concurrent sérieux pour la suite. Grâce à cette victoire, je pense qu’on se place bien pour décrocher la qualification directe pour le Final4 qu’on organisera chez nous. Il nous reste deux matches, mais on peut espérer l’emporter face aux Lions chez nous quand même. On aura alors quatre victoires en cinq matches, et je pense que ça serait déjà pas mal…
"Montpellier ? Ca va être coton !"
Place désormais au Final4 de la Coupe de la Ligue, que vous allez aborder dans la peau du tenant du titre…
On est les tenants du titre. On s’est battu pour emporter ce premier titre l’année dernière. Maintenant on va essayer de le conserver parce que c’est un titre déjà (rires). C’est un objectif important pour le club. En plus le vainqueur décroche une qualification pour une compétition européenne.
Vous affrontez Montpellier en demi-finales, un rendez-vous un peu spécial cette saison…
Pour nous, sur le terrain, on ne pense pas à l’extra-sportif. On sait juste que c’est un match qui s’annonce compliqué, car on joue dans leur salle. Ca va être coton.
Vous avez décroché votre premier succès face au MHB le 18 février dernier (29-22), est-ce un avantage pour vous ?
Sur les dernières confrontations, on est cette saison sur un nul et une victoire. C’est la première fois que ça nous arrive. Mais il ne faut pas trop se prendre la tête avec ça. C’est un match de Coupe et Montpellier connaît le chemin pour aller gagner un titre… Ca donne un contexte complètement différent donc on ne va pas s’avancer.
Be. C.