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Le Fenix a brillé sur cette 1ère partie de saison

LNH - Publié le 17 janvier 2024 à 17h57
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Durant cette période de trêve internationale sur lnh.fr, nous allons revenir, tous les trois jours, sur les faits marquants de cette première partie de saison en Liqui Moly StarLigue et en ProLigue. Place à l’épisode 2 de cette mini-série avec le Fenix Toulouse Handball.

Toulouse a été grand ! Sur cette première partie de l’exercice 2023-2024, le Fenix, habitué ces dernières années à répondre présent et à jouer le haut de tableau en Liqui Moly StarLigue a su confirmer et être clairement au niveau. Et même si, à l’inverse de la saison précédente, les Toulousains n’ont pas réussi à battre chez-eux Paris ou Nantes, les joueurs de Danijel Andjelkovic ont impressionné. De la 4e à la 10e journée, Toulouse est resté invaincu et a enchaîné les victoires, devant ses supporters ou loin de ses bases. D’un succès difficile contre Chartres (33-30, J4) à un match maîtrisé contre Ivry (34-26, J10), le Fenix s’est forgé. Lors de cette trêve hivernale, les statistiques sont plus que bonnes. Toulouse a gagné 11 de ses 15 matchs et a même terminé l’année en beauté en faisant tomber le Montpellier Handball (33-29).   

En route vers l’Europe ?

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le Fenix Toulouse Handball est plus que bien lancé dans la course à l’Europe. A travers sa 4e place, Toulouse décrocherait le dernier billet européen réservé à la Liqui Moly StarLigue pour la saison prochaine. Et avec seulement 1 point de retard sur Montpellier, 3e, et 3 sur Nantes, dauphin du PSG, le Fenix aura certainement de nouvelles intentions pour cette seconde partie de saison. Mais Nemanja Ilic et les siens devront tout de même faire attention et bien regarder dans leurs rétroviseurs puisque Limoges et Saint-Raphaël n’ont que 3 et 5 points de retard. D’autant plus que le Limoges Handball se rendra, pour la reprise du championnat le 11 février, au Palais des Sports de la ville-rose pour un choc qui promet de belles empoignades et dans lequel les joueurs du Fenix devront s’affirmer.

 

Mickaël Nassieu