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Rico Litzinger : « vite obtenir le maintien »

LNH - Publié le 03 septembre 2009 à 00h00
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Handballeur, allemand et gaucher de surcroit, sur le papier, Rico Litzinger a un profil qui, en général, fait tiquer de nombreux clubs. Et c’est chez le promu, Cesson, que le grand blond trimballe sa carrure et son bras depuis 2008. Une bonne occasion de le découvrir à quelques jours de la reprise.
Rico, vous êtes Allemand et c’est presque une curiosité de vous voir évoluer en France, alors que ce sont les Français qui rejoignent parfois la Bundesliga. Comment êtes vous arrivé à Cesson ?
Cela s’est fait l’année dernière parce que je voulais rejoindre la France en raison de mes études et de ma volonté, notamment, d’apprendre le français. J’ai été sollicité par quelques clubs (notamment Nancy ou Saintes, ndlr) et c’est à Cesson que j’ai trouvé ce qui me convenait, après quelques tests. C’est une bonne équipe, avec de l’ambition, et j’avais la possibilité de poursuivre mes études. Même si cela va être compliqué cette saison de ce côté-là, en raison de l’exigence de la D1 (rires).
Justement comment se porte Cesson à quelques jours de la reprise ?
Plutôt bien, même si nous avons pas mal de blessés avec notamment Alexis Bertrand, Romain Ternel, Damian Miguelles ou encore Bram Dewitt qui sont indisponibles. On a beaucoup travaillé pendant cette préparation en jouant plus de matches que l’été passé. Il y a encore beaucoup de choses à parfaire.

Le chantier principal restant l’attaque...
Oui car, pour le moment, si nous sommes plutôt bien en place en défense, on manque de rotations sur la base arrière en raison des blessés. Mais, malgré tout, on a eu des résultats encourageants, notamment face à Nanterre, Saint-Raphaël ou Tremblay. On peut faire quelque chose.



Les résultats sont, en effet, encourageants. Mais quelles seront les ambitions de Cesson cette saison ?

Evidemment on voudra vite obtenir le maintien. C’est la priorité pour nous. Ensuite, on verra bien ce qui viendra. A titre personnel, je souhaite aussi que l’on réussisse à « taper » une des grosses équipes du championnat comme Chambéry, Dunkerque, Ivry, Tremblay ou Saint-Raphaël.

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