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2e journée de D1, les matches de vendredi

LNH - Publié le 18 septembre 2009 à 00h00
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A l’occasion de ce deuxième temps fort de la 2e journée de D1, 3 matches ont eu lieu à travers la France ce vendredi soir. Le derby du Languedoc est revenu logiquement à Montpellier. Ailleurs, Toulouse s'est imposé à Tremblay tandis qu'Istres a gagné chez Cesson.

Montpellier 36–22 Nîmes (16-10)
Victoire logique de Montpellier lors du derby du Languedoc face à Nîmes. Comme la semaine passée à Bougnol, l’ensemble de Patrice Canayer a survolé les débats. Un peu moins franchement que face à Créteil, mais tout de même. Toujours devant, les partenaires de Michaël Guigou (6 buts) n’ont pas laissé l’ombre d’un espoir à des Crocos bien diminués (Nedovic, Haon et Boubaiou absents), même si les visiteurs ont pu s’accrocher jusqu’à la mi-temps. Au retour des vestiaires, le mal était vite fait et Montpellier s’envolait vers une seconde victoire qui le plaçait en tête du classement.

Tremblay 29–32 Toulouse (13-15)
Déjà défait la saison dernière par cette même équipe de Toulouse lors de son premier match à domicile, Tremblay va finir par croire à une malédiction. Pour les Haut-Garonnais de Lukas Buchta (en photo), l’affaire est plutôt un bon augure. Les hommes de Raphaël Geslan remportent 2 précieux points avec une équipe composée de pas mal de jeunots. La principale qualité des visiteurs du soir ayant été de parfaitement gérer leur rencontre, sans jamais s'affoler. Mention spéciale à Mickaël Merz et Fabien Arriubergé qui furent déterminants dans le second acte.

Cesson 25–32 Istres (12-17)
Un peu vexés par leur match nul inaugural contre Nantes, les Provençaux étaient venus dans le grand Ouest pour se remettre dans le bon sens. Force est de constater que les Sudistes se sont parfaitement acclimatés à l’ambiance bretonne puisqu’ils ont remporté une précieuse victoire face aux promus. Plus appliqués et efficaces en attaque que la semaine dernière, les partenaires de l’intenable Mohamadi Loutoufi ont fait le métier. Le score est un peu sévère pour les Cessonais qui n’étaient pas si loin que ça des Istréens. L’apprentissage de la D1 continue.

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