Dans le bas du classement dès le début du championnat, Paris a vécu une saison très compliquée pour son retour parmi l’élite. Malgré le départ du coach Olivier Girault en mars, le club de la Capitale a finalement trouvé les ressources pour se sauver in-extremis.
De retour en D1 après une saison vécue à l’étage inférieur, les Parisiens ne voulaient surtout pas reprendre l’ascenseur en fin d’année. L’équipe était d’ailleurs taillée pour remplir cet objectif. La préparation s’était également bien passée. Mais, après un départ réussi avec une victoire sur Ivry (28-27), le promu a tout de suite été dans le dur. Quatre revers consécutifs ont envoyé le club de la Capitale dans la zone rouge. Et cette position inconfortable a été la sienne pendant un long moment.
Car, malgré une victoire en championnat sur Saint-Cyr (27-23) et une belle place de demi-finaliste de la Coupe de la Ligue (défaite contre Chambéry après des succès face à Cesson et Tremblay), les Parisiens ont entamé une longue traversée du désert à partir de novembre. La faute à une défense friable (plus de 29 buts encaissés par match en moyenne) et aux blessures de joueurs majeurs comme Kévynn Nyokas (69 buts en 12 matches seulement !). Résultats : une élimination d’entrée en Coupe de France (contre Nanterre) et neuf journées de D1 sans victoire.
En mars, toujours relégable, la situation devenait donc délicate. Encore plus après le départ d’Olivier Girault, finalement remplacé par son adjoint Maxime Spincer. Mais, avec le retour des blessés, les partenaires de Mathias Ortega (5 buts par match, en photo) ont eu le mérite de ne pas lâcher. Dos au mur, à trois journées de la fin, ils devaient gagner tous leurs matches. Ils l’ont fait, et pas contre n’importe qui (Nantes, Saint-Raphaël et Tremblay). De quoi assurer de justesse le maintien et, du coup, d’éviter de reprendre l’ascenseur.
Bilan du championnat (26 matches) : 12e place au classement, 16 points
7 victoires, 3 nul et 16 défaites
Buts marqués : 691
Buts encaissés : 729
De retour en D1 après une saison vécue à l’étage inférieur, les Parisiens ne voulaient surtout pas reprendre l’ascenseur en fin d’année. L’équipe était d’ailleurs taillée pour remplir cet objectif. La préparation s’était également bien passée. Mais, après un départ réussi avec une victoire sur Ivry (28-27), le promu a tout de suite été dans le dur. Quatre revers consécutifs ont envoyé le club de la Capitale dans la zone rouge. Et cette position inconfortable a été la sienne pendant un long moment.
Car, malgré une victoire en championnat sur Saint-Cyr (27-23) et une belle place de demi-finaliste de la Coupe de la Ligue (défaite contre Chambéry après des succès face à Cesson et Tremblay), les Parisiens ont entamé une longue traversée du désert à partir de novembre. La faute à une défense friable (plus de 29 buts encaissés par match en moyenne) et aux blessures de joueurs majeurs comme Kévynn Nyokas (69 buts en 12 matches seulement !). Résultats : une élimination d’entrée en Coupe de France (contre Nanterre) et neuf journées de D1 sans victoire.
En mars, toujours relégable, la situation devenait donc délicate. Encore plus après le départ d’Olivier Girault, finalement remplacé par son adjoint Maxime Spincer. Mais, avec le retour des blessés, les partenaires de Mathias Ortega (5 buts par match, en photo) ont eu le mérite de ne pas lâcher. Dos au mur, à trois journées de la fin, ils devaient gagner tous leurs matches. Ils l’ont fait, et pas contre n’importe qui (Nantes, Saint-Raphaël et Tremblay). De quoi assurer de justesse le maintien et, du coup, d’éviter de reprendre l’ascenseur.
Bilan du championnat (26 matches) : 12e place au classement, 16 points
7 victoires, 3 nul et 16 défaites
Buts marqués : 691
Buts encaissés : 729
