La 3e journée de D1 se poursuivait ce vendredi. Parmi les cinq matches au programme, on peut noter les victoires à domicile de Montpellier, Toulouse, Istres et Paris. Seul Cesson a perdu chez lui contre Nîmes.
Montpellier 32-25 Nantes (19-9)
Après un début de match équilibré (4-3, 8e), les Nantais ont connu un gros passage à vide en encaissant un 8-2 terrible (12-5, 17e). Sur le terrain du champion de France, ce genre d’écart est très difficile à réduire. Surtout que, à la mi-temps, les Violets avaient 10 buts de retard (19-9, 30e). Mais au retour des vestiaires, au lieu de couler, les partenaires de Valero Rivera (5/7 au tir) ont eu le mérite d’y croire et de se battre. Revenus à 3 unités (25-22, 50e), les visiteurs ont alors payé ces efforts d'autant que les Héraultais ont serré la vis. Reprenant un peu d’air au tableau d’affichage, la bande à Dragan Gajic (6 buts) s’est finalement imposée 32-25, comme début septembre en demi-finale du Trophée des Champions.
Toulouse 31-26 Créteil (16-14)
Une semaine après être passé à côté de son match à Ivry, Toulouse a bien relevé la tête à domicile. Les premières minutes ont été très disputées avec des Cristoliens sans pression (8-8, 15e). Mais, en fin de première période, les locaux ont creusé un écart (16-14, 30e). Petit, certes, mais suffisant pour repartir confiant après la pause. Emmenés par un Valentin Porte redoutablement efficace (8/8 au tir), les Haut-Garonnais ont fait grossir cette avance jusqu’à +5 (28-23, 52e). Et, malgré les efforts d’Ivan Stankovic (9 buts), Créteil n’a jamais pu revenir à cause, en partie, des 16 arrêts de Daouda Karaboué (en photo). Quelques jours après sa victoire contre Paris, le club francilien rechute donc en concédant la défaite 31-26.
Paris 27-26 Ivry (10-12)
Sans victoire depuis le début de la saison, les Parisiens avaient besoin de points dans ce derby. Mais, face à une équipe en confiance comme Ivry, prendre l’avantage n’est pas facile (5-5, 15e). Ce sont d’ailleurs les Rouge et Noir qui ont pris l’ascendant en fin de première période (10-12, 30e) sous l’impulsion de Mathieu Bataille (6 buts). Cette avance, les Ivryens vont la faire fructifier pour arriver à +5 à 10 minutes de la fin (18-23, 50e). Plié, le match ? Pas du tout. Les coéquipiers de Nicolas Claire (9/10 au tir) ont alors infligé à leurs adversaires un 5-0 en 5 minutes (23-23, 55e). La fin de match a été très indécise et, finalement, le Paris Handball s’est imposé au buzzer sur un ultime but de Mathias Ortega (7-11 au tir). Résultat : une victoire 27-26 des locaux.
Istres 32-29 Tremblay (19-16)
En difficulté lors des deux premières journées, l’équipe provençale a parfaitement redressé la barre devant son public. D’abord en contenant les assauts des partenaires de Romain Guillard (7 buts) pour rester au contact (10-10, 16e). Puis en resserrant la défense pour arriver à la pause avec un écart de 3 unités (19-16, 30e). Avec un leader offensif comme Lilian Di Salvo (10/10 au tir), Istres a su conserver cette avance pendant une bonne partie de la seconde période (25-22, 42e), même si ça restait précaire. La preuve, dans le money-time, puisque Tremblay est revenu à un but à quelques secondes de la fin (30-29, 58e). Mais les joueurs de Christophe Mazel n’ont pas craqué pour remporter leur première victoire de la saison (32-29).
Cesson 24-33 Nîmes (10-14)
Entre deux équipes qui ont frôlé la descente en D2 la saison dernière, c’est Nîmes qui a pris le meilleur. Avec une tactique simple, mais difficile à réaliser : bloquer le duo d’attaque breton composé de Lanfranchi et Hernandez-Pola (4 buts seulement à eux deux) et lâcher les chevaux en attaque. Après un début de rencontre accroché (4-4, 14e), les Verts ont rapidement pris les commandes des opérations pour arriver à la pause avec 4 unités d’avance (10-14, 30e). Dans l’élan de Malik Boubaiou (7/8 au tir), Nîmes a continué sur le même rythme en seconde période. Sans solution, les Bretons n’ont pu que constater les dégâts et encaisser une sévère défaite à domicile 24-33.
Montpellier 32-25 Nantes (19-9)
Après un début de match équilibré (4-3, 8e), les Nantais ont connu un gros passage à vide en encaissant un 8-2 terrible (12-5, 17e). Sur le terrain du champion de France, ce genre d’écart est très difficile à réduire. Surtout que, à la mi-temps, les Violets avaient 10 buts de retard (19-9, 30e). Mais au retour des vestiaires, au lieu de couler, les partenaires de Valero Rivera (5/7 au tir) ont eu le mérite d’y croire et de se battre. Revenus à 3 unités (25-22, 50e), les visiteurs ont alors payé ces efforts d'autant que les Héraultais ont serré la vis. Reprenant un peu d’air au tableau d’affichage, la bande à Dragan Gajic (6 buts) s’est finalement imposée 32-25, comme début septembre en demi-finale du Trophée des Champions.
Toulouse 31-26 Créteil (16-14)
Une semaine après être passé à côté de son match à Ivry, Toulouse a bien relevé la tête à domicile. Les premières minutes ont été très disputées avec des Cristoliens sans pression (8-8, 15e). Mais, en fin de première période, les locaux ont creusé un écart (16-14, 30e). Petit, certes, mais suffisant pour repartir confiant après la pause. Emmenés par un Valentin Porte redoutablement efficace (8/8 au tir), les Haut-Garonnais ont fait grossir cette avance jusqu’à +5 (28-23, 52e). Et, malgré les efforts d’Ivan Stankovic (9 buts), Créteil n’a jamais pu revenir à cause, en partie, des 16 arrêts de Daouda Karaboué (en photo). Quelques jours après sa victoire contre Paris, le club francilien rechute donc en concédant la défaite 31-26.
Paris 27-26 Ivry (10-12)
Sans victoire depuis le début de la saison, les Parisiens avaient besoin de points dans ce derby. Mais, face à une équipe en confiance comme Ivry, prendre l’avantage n’est pas facile (5-5, 15e). Ce sont d’ailleurs les Rouge et Noir qui ont pris l’ascendant en fin de première période (10-12, 30e) sous l’impulsion de Mathieu Bataille (6 buts). Cette avance, les Ivryens vont la faire fructifier pour arriver à +5 à 10 minutes de la fin (18-23, 50e). Plié, le match ? Pas du tout. Les coéquipiers de Nicolas Claire (9/10 au tir) ont alors infligé à leurs adversaires un 5-0 en 5 minutes (23-23, 55e). La fin de match a été très indécise et, finalement, le Paris Handball s’est imposé au buzzer sur un ultime but de Mathias Ortega (7-11 au tir). Résultat : une victoire 27-26 des locaux.
Istres 32-29 Tremblay (19-16)
En difficulté lors des deux premières journées, l’équipe provençale a parfaitement redressé la barre devant son public. D’abord en contenant les assauts des partenaires de Romain Guillard (7 buts) pour rester au contact (10-10, 16e). Puis en resserrant la défense pour arriver à la pause avec un écart de 3 unités (19-16, 30e). Avec un leader offensif comme Lilian Di Salvo (10/10 au tir), Istres a su conserver cette avance pendant une bonne partie de la seconde période (25-22, 42e), même si ça restait précaire. La preuve, dans le money-time, puisque Tremblay est revenu à un but à quelques secondes de la fin (30-29, 58e). Mais les joueurs de Christophe Mazel n’ont pas craqué pour remporter leur première victoire de la saison (32-29).
Cesson 24-33 Nîmes (10-14)
Entre deux équipes qui ont frôlé la descente en D2 la saison dernière, c’est Nîmes qui a pris le meilleur. Avec une tactique simple, mais difficile à réaliser : bloquer le duo d’attaque breton composé de Lanfranchi et Hernandez-Pola (4 buts seulement à eux deux) et lâcher les chevaux en attaque. Après un début de rencontre accroché (4-4, 14e), les Verts ont rapidement pris les commandes des opérations pour arriver à la pause avec 4 unités d’avance (10-14, 30e). Dans l’élan de Malik Boubaiou (7/8 au tir), Nîmes a continué sur le même rythme en seconde période. Sans solution, les Bretons n’ont pu que constater les dégâts et encaisser une sévère défaite à domicile 24-33.