Vainqueur de Créteil en quarts de finale (30-27), Chambéry est à nouveau qualifié pour le Final 4 de la Coupe de la Ligue (10-11 décembre). A Nantes, les Savoyards affronteront Montpellier en demi-finale. Pas de quoi inquiéter Benjamin Gille, le pivot et pilier de la défense du CSH.
Benjamin, quelle importance revêt la Coupe de la Ligue pour vous ?
C’est une compétition essentielle pour l’équipe, mais aussi pour le club dans son ensemble. C’est d’ailleurs notre dernier trophée (Ndlr : victoire en 2002). C’est évidemment l’un de nos objectifs en début de saison. Surtout que cette coupe offre la possibilité de remporter un titre en seulement trois matches pour nous qui étions exemptés du premier tour. Maintenant, il n’en reste que deux à gagner. Et, même s’il y a encore d’autres échéances d’ici la demi-finale, on commence à y penser.
Justement, le tirage au sort vous a réservé Montpellier dès les demi-finales. Quelle est votre réaction ?
On est dans le dernier carré, donc on sait que l’on va forcément affronter un adversaire de valeur, que cela va être compliqué. Cette fois, ce sera Montpellier. Depuis le temps, on était peut-être plus habitué à les jouer en finale, mais les retrouver au tour précédent est peut-être une bonne chose. On les a d’ailleurs battus en quart de finale de la Coupe de France la saison dernière et, personnellement, je préfère les jouer en demi-finale qu’en finale. Je prends donc très bien ce tirage au sort.
La finale perdue l’année dernière contre Montpellier (32-29) est-il toujours dans vos têtes ?
Pas vraiment, non. On a essayé d’oublier rapidement pour passer à autre chose. Et puis, des finales perdues ces dernières années, contre Montpellier ou d’autres, il y en a malheureusement eu un wagon (rires). Donc cette défaite n’est pas restée en travers de la gorge contrairement à d’autres. Il n’y a pas d’esprit revanchard, mais simplement une grosse envie de briller dans ce Final 4 de la Coupe de la Ligue et de remporter un titre.
Benjamin, quelle importance revêt la Coupe de la Ligue pour vous ?
C’est une compétition essentielle pour l’équipe, mais aussi pour le club dans son ensemble. C’est d’ailleurs notre dernier trophée (Ndlr : victoire en 2002). C’est évidemment l’un de nos objectifs en début de saison. Surtout que cette coupe offre la possibilité de remporter un titre en seulement trois matches pour nous qui étions exemptés du premier tour. Maintenant, il n’en reste que deux à gagner. Et, même s’il y a encore d’autres échéances d’ici la demi-finale, on commence à y penser.
Justement, le tirage au sort vous a réservé Montpellier dès les demi-finales. Quelle est votre réaction ?
On est dans le dernier carré, donc on sait que l’on va forcément affronter un adversaire de valeur, que cela va être compliqué. Cette fois, ce sera Montpellier. Depuis le temps, on était peut-être plus habitué à les jouer en finale, mais les retrouver au tour précédent est peut-être une bonne chose. On les a d’ailleurs battus en quart de finale de la Coupe de France la saison dernière et, personnellement, je préfère les jouer en demi-finale qu’en finale. Je prends donc très bien ce tirage au sort.
La finale perdue l’année dernière contre Montpellier (32-29) est-il toujours dans vos têtes ?
Pas vraiment, non. On a essayé d’oublier rapidement pour passer à autre chose. Et puis, des finales perdues ces dernières années, contre Montpellier ou d’autres, il y en a malheureusement eu un wagon (rires). Donc cette défaite n’est pas restée en travers de la gorge contrairement à d’autres. Il n’y a pas d’esprit revanchard, mais simplement une grosse envie de briller dans ce Final 4 de la Coupe de la Ligue et de remporter un titre.