Au fil des saisons, Saint-Raphaël a pris du galon. Toujours en embuscade derrière Montpellier et Chambéry, les Varois enchainent les bonnes prestations. Finaliste en 2010, la formation de Christian Gaudin se verrait bien décrocher le graal cette année.
Devenu en quelques saisons l’un des cadors du championnat, Saint-Raphaël est désormais une formation que l’on respecte. Avec déjà sept succès cette année, les Varois sont en constante progression. Actuellement troisièmes et fraichement qualifiés pour les 8es de finales de la Coupe EHF, les partenaires d’Aurélien Abily veulent profiter de leur réussite pour apporter un premier titre au club. Après avoir éliminé Ivry et Nîmes aux tours précédents de la Coupe de la Ligue, les Sudistes ont la possibilité de le faire dans cette compétition ce week-end. Solides en défense et opportunistes en attaque, les hommes de Christian Gaudin possèdent tous les atouts nécessaires pour y parvenir. Battus récemment en championnat, ils auront sans doute à cœur de prendre leur revanche sur les Nantais en demi-finale.
Forces
- une défense solide portée par deux gardiens complémentaires (Ploquin et Djukanovic)
- un côté gauche très performant (Caucheteux et Abily)
Faiblesses
- les mauvais résultats face aux trois demi-finalistes (Montpellier, Chambéry et Nantes)
- le manque de fraicheur physique dû aux nombreux déplacements lors des dernières semaines
Joueur clé : Heykel Megannem
Arrivé en 2009 en provenance de Montpellier, le Tunisien s’est rapidement fondu dans le collectif varois. Véritable maitre à jouer, le demi-centre continue sur sa lancée héraultaise en apportant toute son expérience et sa classe internationale. A bientôt 35 ans, Megannem est toujours au rendez-vous faisant ainsi jouer ses partenaires tout en contribuant aux succès de son équipe (3,6 buts de moyenne). Sa vista devrait permettre à Saint-Raphaël de voir encore plus haut cette année.
La déclaration :
Raphaël Caucheteux (arrière gauche)
« L’objectif, c’est de revivre 2010, mais en faisant encore mieux. On y va pour gagner. On pourra jouer sans pression car on n’a rien à perdre. On va jouer la compétition à fond. C’est important puisqu’il y a une qualification européenne à gagner, sans parler d’un titre prestigieux évidemment. Après, vu les équipes engagées, on ne prend pas ce Final 4 à la légère. »
Devenu en quelques saisons l’un des cadors du championnat, Saint-Raphaël est désormais une formation que l’on respecte. Avec déjà sept succès cette année, les Varois sont en constante progression. Actuellement troisièmes et fraichement qualifiés pour les 8es de finales de la Coupe EHF, les partenaires d’Aurélien Abily veulent profiter de leur réussite pour apporter un premier titre au club. Après avoir éliminé Ivry et Nîmes aux tours précédents de la Coupe de la Ligue, les Sudistes ont la possibilité de le faire dans cette compétition ce week-end. Solides en défense et opportunistes en attaque, les hommes de Christian Gaudin possèdent tous les atouts nécessaires pour y parvenir. Battus récemment en championnat, ils auront sans doute à cœur de prendre leur revanche sur les Nantais en demi-finale.
Forces
- une défense solide portée par deux gardiens complémentaires (Ploquin et Djukanovic)
- un côté gauche très performant (Caucheteux et Abily)
Faiblesses
- les mauvais résultats face aux trois demi-finalistes (Montpellier, Chambéry et Nantes)
- le manque de fraicheur physique dû aux nombreux déplacements lors des dernières semaines
Joueur clé : Heykel Megannem
Arrivé en 2009 en provenance de Montpellier, le Tunisien s’est rapidement fondu dans le collectif varois. Véritable maitre à jouer, le demi-centre continue sur sa lancée héraultaise en apportant toute son expérience et sa classe internationale. A bientôt 35 ans, Megannem est toujours au rendez-vous faisant ainsi jouer ses partenaires tout en contribuant aux succès de son équipe (3,6 buts de moyenne). Sa vista devrait permettre à Saint-Raphaël de voir encore plus haut cette année.
La déclaration :
Raphaël Caucheteux (arrière gauche)
« L’objectif, c’est de revivre 2010, mais en faisant encore mieux. On y va pour gagner. On pourra jouer sans pression car on n’a rien à perdre. On va jouer la compétition à fond. C’est important puisqu’il y a une qualification européenne à gagner, sans parler d’un titre prestigieux évidemment. Après, vu les équipes engagées, on ne prend pas ce Final 4 à la légère. »