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J24D1/ Paris met la pression à Montpellier

LNH - Publié le 21 mai 2015 à 00h04
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Dans la course à la 3e place, Dunkerque et Saint-Raphaël ont assuré dans leurs duels respectifs face à Créteil et Istres. Alors que Toulouse poursuit sa remontée suite à son succès à Tremblay, Paris n’a pas raté l’occasion de prendre provisoirement la tête de l’élite grâce à son succès contre Cesson-Rennes. Montpellier est sous pression avant son déplacement à Chambéry.
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Après leur maintien assuré lors de la J23, Aix et Nîmes se retrouvaient au Val-de-l’Arc pour un derby sudiste. Face à une formation du PAUC diminuée par les blessures, les hommes de Franck Maurice ont réalisé un départ canon. Profitant des largesses défensives adverses, les partenaires d’Asgeir-orn Hallgrimsson (11 buts) ont rapidement pris le large au score (5-13 à la 14’). Iosu Goni Leoz (9 buts) et les siens sont totalement dépassés, et ne parviennent pas à stopper l’hémorragie (9-19 à la 30’). Mis à mal devant leur public, les Provençaux vont revenir des vestiaires avec un tout autre visage. Plus conquérants, et sous l’impulsion d’Iosu Goni Leoz, les locaux parviennent à diminuer de moitié leur retard en moins de 15’ (17-22 à la 43’). Mais après avoir baissé sa garde, la Green Team est repartie de l’avant, dans le sillage d’un excellent Julien Rebichon (8 buts). Au final, l’USAM signe une troisième victoire de rang en championnat (28-34 à la 60’), et revient à 1point de la 7e place.

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Défait à Paris, Dunkerque enchainait avec un deuxième déplacement de suite, du côté de Créteil. Un match capital pour les Nordistes dans la course à l’Europe. Sérieux dès l’entame des hostilités, les joueurs de Patrick Cazal ont très vite pris les commandes du match (3-8 à la 13’). Solides derrière, et avec un Vincent Gérard impérial sur sa ligne (14 arrêts en 30’), les partenaires de Baptiste Butto (8 buts), sont logiquement rentrés aux vestiaires en tête à la pause (8-13 à la 30’). L’entame du second acte va être fatale aux coéquipiers de Dejan Malinovic (5 buts). Gérard poursuit son festival dans ses buts, et permet aux siens d’infliger un terrible 0-5 aux Cristoliens (8-18 à la 33’). Les Ciel et Blanc tentent de réagir, mais le mal est fait (12-21 à la 41’), et les champions de France en titre gèrent parfaitement leur avantage (19-27 à la 55’) dans le sillage d’un excellent Jalel Touati (8 buts). Dunkerque s’impose logiquement sur le score de 21 à 28, et se met en ordre de marche pour la réception de Montpellier. 

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Tenu en échec par Cesson lors de la J23, Saint-Raphaël retrouvait son Palais des Sports avec la réception d’Istres. Face à une formation condamnée à la relégation, les partenaires de Raphaël Caucheteux (11 buts), ont vécu un premier acte compliqué. Sous la houlette de Théo Derot (9 buts) les Istréens font la course en tête (5-7 à la 10’). Le SRVHB tente de réagir, mais les joueurs de Gilles Derot ne lâchent pas prise, et poursuivent leur récital offensif (15-17 à la 24’). Mais grâce à son serial buteur nommé Caucheteux, Saint-Raphaël parvient à inverser la tendance avant la pause (20-17 à la 30’). Bousculés pendant 30’, les Varois ont repris la seconde période avec de meilleures intentions. Les problèmes défensifs réglés, Alexandre Tomas (4 buts) et consorts s’offrent des balles de contres, et font le break (26-19 à la 35’). Istres s’essouffle, et ne parvient plus à répondre à la puissance offensive adverse (33-27 à la 49’). Au final, Saint-Raphaël l’emporte sur le score de 38 à 30, et conserve sa place sur le podium.

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Officiellement relégué la semaine dernière en Pro D2, les Alsaciens n’ont pas décidé de bazarder pour autant leur fin de saison. D’entrée, face aux visiteurs nantais, ils mettent plus que les formes (5-2 à la 7’) grâce notamment à un bon Frédéric Beauregard (8 buts). Mais Nantes veut faire respecter son rang et trouve enfin ses marques (6-6 à la 10’ puis 11-11 à la 18’). Là, les visiteurs font un premier break (12-16 à la 23’) grâce à un très bon Gorazd Skof dans les cages (12 arrêts) et un parfait Valero Rivera (9 buts) à la conclusion. Pourtant, à la pause, les Violets reviennent à 2 longueurs (16-18 à la 30’). Dans le début du second acte, les locaux sont à la relance et reviennent à hauteur grâce à Christian Radu Ghita (9 buts) et Yannis Lenne (19-19 à la 35’ puis 21-21 à la 37’). Cela ne sera pas suffisant pourtant car le « H » via Valero Rivera et Mahmoud Gharbi, va creuser un écart qui serait fatal (25-29 à la 51’). Thierry Anti et ses hommes vont parfaitement gérer ce matelas pour s’imposer (31-32).

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Pour son dernier match de la saison dans son Palais des Sports, Tremblay accueillait une équipe de Toulouse soulagée, après avoir validé son maintien la semaine dernière. Un premier acte marqué par le duel à distance entre Aljosa Rezar (15 arrêts) et Wesley Pardin (14 arrêts), tout deux efficaces dans leurs buts. Dans ce duel défensif, aucune des deux formations ne parvient à se détacher (8-8 à la 16’). Ilic et Porte (8 buts chacun) maintiennent le Fenix en attaque, et permettent aux leurs de prendre un petit but d’avance à la mi-temps (15-16 à la 30’). Un avantage que les Haut-Garonnais vont accroître dès l’entame du second acte, exploitant parfaitement les pertes de balle des Tremblaysiens (25-30 à la 35’). De son côté Romain Ternel (6 buts) permet aux siens de revenir dans la course à l’approche du money-time (21-22 à la 45’), mais les visiteurs se montrent beaucoup plus efficaces. Libérés, les coéquipiers de Miha Zvizej (4 buts) réalisent une excellente fin de match (28-33 à la 60’), et poursuivent leur belle remontée au classement. 

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Paris avait l’occasion de prendre provisoirement la tête de l’élite en cas de succès face à Cesson. Un déplacement pris très au sérieux par les partenaires de Thierry Omeyer (9 arrêts) qui ont fait preuve de beaucoup d’implication dès le coup d’envoi. Bien en place défensivement, et profitant des quelques approximations adverses, les Franciliens ont progressivement pris l’avantage (5-7 à la 14’ puis 8-13 à la 21’). Kévin Bonnefoi maintient les siens à flot (14 arrêts), et permet aux Bretons de rester en course à la pause (12-14 à la 30’). Mikkel Hansen (8 buts) fait parler la poudre au retour des vestiaires, et offre 4 buts d’avance aux siens (14-18 à la 36’). Mais comme à leur habitude, les Cessonnais ne lâchent rien, et reviennent à un but à moins de 15’ du terme (21-22 à la 47’). Romaric Guillo (7 buts) se mue en buteur, et met à mal la défense parisienne (22-24 à la 60’). Mais sans trembler, et grâce à un Hansen de nouveau décisif, Paris s’impose face à Cesson-Rennes (23-26 à la 60’). Le PSG est provisoirement leader.