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TDC / Jalel Touati : « on n’est pas champion pour rien ! »

LNH - Publié le 06 septembre 2014 à 19h53
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Acteurs marquants de la première demi-finale de cette édition 2014 du Trophée des Champions remportée par Dunkerque face à Nantes (27-26), les Nordistes Jalel Touati et Benjamin Afgour ainsi que le Ligériens Igor Anic sont dans les réactions d’après-match.

Jalel Touati (ailier droit de Dunkerque, en photo) :

Comme tous les matchs face à Nantes, il y a eu de l’agressivité, de l’engagement et je crois que l’on mérite notre victoire. On s’est battu jusqu’au bout et je pense que l’on a bien su compenser les absences de nos cadres, Micke Grocaut, Pierre Soudry et Mohamed Mokrani, chapeau bas à tout le monde. Malgré notre préparation moyenne, on a réussi à se retrouver aujourd’hui. On est content du résultat et on montre que l’on n’est pas champion pour rien. A titre personnel, j’ai de nouveau été très content de jouer devant ce public dans une très chaude ambiance. C’est toujours un plaisir. Maintenant, il va falloir récupérer car il fait chaud et on va avoir une très grosse équipe en face de nous en finale.

 

Benjamin Afgour (pivot de Dunkerque) :

Aujourd’hui, en l’absence de Mohamed et Micke, il a fallu que je prenne mes responsabilités et cela ne m’a pas du tout dérangé. En tant que jeune international, je me dois de montrer que le sélectionneur ne se trompe pas en me prenant. Cette victoire n’a pas été simple car on était diminué mais on a su travailler pour compenser, trouver des solutions. Ca a payé. On a su y croire, respecter ce que le coach nous avait dit. Au final, on mérite cette victoire. Maintenant, on ne veut pas aller en finale pour rien et on va aller chercher ce Trophée des Champions.

 

Igor Anic (pivot de Nantes) :

On n’a pas mis ce qu’il fallait pour gagner ce soir. On est tous conscient des erreurs commises. Il faut que l’on retourne à l’entraînement pour travailler et être prêts pour la reprise du championnat. On sort de cette compétition, c’est dommage, mais il y aura d’autres objectifs qui vont s’ouvrir. Il faut qu’on progresse sur tous les plans. Ce n’est pas vraiment l’état d’esprit, c’est un ensemble, des erreurs, de la malchance, tout combiné donne ce résultat. Quand il y a un mauvais jour, il y a un mauvais jour.