Valentin, quel regard portes-tu sur cette défaite ?
C’est un match qui nous servira de leçon. On ne peut pas démarrer les matches de cette manière. Maintenant je retiens surtout les 40 dernières minutes, durant lesquelles on a fait jeu égal avec Paris. J’ai retrouvé une équipe un peu plus sereine, un peu plus soudée. La compétition, c’est différent, il faut rentrer dans les matches mieux que ça.
Avez-vous perdu ce match dans la tête ?
Oui je pense. Comment gérer la compétition ? En match amical, il n’y a pas de pression, on est là pour travailler. Ça vient tout seul. Là, c’est une finale, il y a la TV, il y a tout ça. Peut-être qu’inconsciemment on se met de la pression. Et quand tu joues face à Paris, ça va vite. Encore une fois, je veux tout de même tirer le positif et il faut que cela nous serve pour la reprise, qui est dans quatre jours, face à Créteil.
On a également senti une équipe un peu en-dedans physiquement…
On est en fin de prépa. Ce n’est pas une excuse, mais il y a peut-être un contrecoup, quelques pépins, un peu de fatigue. Et puis il faisait très chaud, tout ça réuni, ça donne ce genre de match. Et puis face à Paris, ça se voit un peu plus. Mais je ne suis pas inquiet, non. A nous de tirer les bonnes conclusions après ce match.
Be. C.
